Le numérique représente 4 % des émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial. En 2025, ce sera 7 %, et 14 % en 2040.
Si le numérique constitue une partie de la solution pour la transition énergétique, on doit désormais mesurer son impact sur l’environnement, alerte Emmanuel Houdaille, directeur innovation de SPIE ICS. Clairement, il nous faut agir, d’autant que la loi REEN* va pousser le marché à se transformer en ce sens. » La réduction de l’empreinte écologique du numérique est une des priorités du plan stratégique de SPIE ICS.
« Afin que nos engagements prennent une forme opposable sur le marché, nous avons obtenu le label “Numérique Responsable”. Cela nous a permis de structurer notre démarche et de disposer d’une feuille de route », poursuit Emmanuel. SPIE ICS s’est notamment engagée à être plus vertueuse dans les produits et services vendus.
« En tant qu’ESN, nous avons le pouvoir d’agir chez nos clients : nos architectes travaillent sur l’écoconception et nos ingénieurs d’affaire sont forces de proposition pour des offres écoresponsables, incluant le réemploi ou le prolongement de la durée de vie des équipements », estime David Matrat, consultant conseil et innovation DAGE.
Première grande ESN française labellisée, SPIE ICS entend affirmer un positionnement différenciant sur le marché et propose d’ores et déjà des prestations de service et de conseil auprès de ses clients.
* Loi sur la réduction de l’empreinte environnementale du numérique